Audiotranscription

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Nicolas Lebrun, responsable du pôle IDMS
Pour installer des postes de travail
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efficacement et rapidement dans les établissements, on n’a pas d’autre choix
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que de s’appuyer sur l’automatisation.
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Donc l’automatisation. Ça consiste à avoir un outil de gestion des stations. Notre outil s’appelle OPSI Open PC serveur intégration.
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C’est un produit libre et allemand qu’on utilise depuis plusieurs années maintenant.
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On en a 150 des serveurs OPSI pour gérer un parc de 50 000 stations de travail.
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Alors, qu’est ce qu’on est capable de faire avec cet outil ? On est capable
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d’installer un logiciel. On a un catalogue de 800 logiciels. On est capable d’installer une imprimante. On est capable de faire une configuration utilisateur. En réalité, on est capable de faire à peu près tout ce qui peut être fait sur une station.
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Et on est même capable,
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on est même en capacité de la redéployer intégralement, c’est à dire la refaire intégralement avec son OS et ses logiciels.
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On fait ça donc je disais sur sur 150 établissements.
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Ensuite, si l’automatisation ne fonctionne pas et c’est ce qu’on essaye d’éviter au maximum,
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évidemment, on a d’autres solutions. Les autres solutions, c’est prendre la main à distance sur les stations.
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Ca aussi on est en capacité de le faire. Et puis au cas où. On a des équipes de proximité qui se déplacent dans les établissements notamment. Par exemple, en cas de panne matérielle,
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Adapter le poste de travail aux besoins de l’utilisateur final, c’est finalement le plus compliqué dans notre métier.
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On le fait d’autant qu’on le fait pour des usages qui sont très hétérogènes. Ça peut aller de la section
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arts appliqués. La classe de chaudronnerie, l’atelier de chaudronnerie, la classe de mathématiques ou d’histoire géo ou encore le poste du secrétaire ou de la proviseure.
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Donc, il faut qu’on mène un dialogue fort avec les usagers, qui sont principalement les enseignants. Et ça, on le fait au travers de nos tickets et ensuite on essaye d’établir un catalogue. Ce catalogue, on l’établit en partenariat avec des institutions du rectorat, notamment la DRANE par exemple, la direction régionale
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au numérique éducatif et on a établi aujourd’hui un catalogue de 800 logiciels.
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C’est 800 logiciels. Il y en a des tout petits, des très simples, un simple exécutable à recopier sur le disque dur jusqu’à des logiciels métiers particulièrement lourds, du type SolidWorks par exemple.
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Notre recherche maintenant, ça va plutôt être d’essayer d’aller vers la mobilité et en essayant d’avoir une meilleure prise en charge, notamment des ordinateurs portables qui arrivent massivement dans nos établissements.
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On est aujourd’hui en capacité, avec ces 800 logiciels, d’offrir à peu près une offre complète et adaptée dans presque 100 % des cas.